La Dre Claire Kendall soutient la recherche qui identifiera les stratégies pour aider les plus touchées par les effets corollaires de la COVID-19
22/04/2020
L’éloignement physique, l’évolution rapide de l’information et l’instabilité économique que l’on connaît engendrent des répercussions importantes sur les Canadiens et leur bien-être. C’est ce que l’on constate chez les personnes qui sont déjà marginalisées parce qu’elles ont perdu leur soutien financier et social, ont baigné dans un environnement familial instable, ont vécu des situations dangereuses liées au sevrage et à la surdose ou qui ont vu leurs problèmes de santé mentale s’aggraver.
La Dre Kendall, clinicienne et chercheuse à Bruyère, fait partie d’une équipe de recherche qui tentera de déterminer les répercussions que la réponse de santé publique à la pandémie de COVID-19 aura sur les personnes marginalisées et les interventions les plus aptes à les aider. Cela aidera les gouvernements et les organismes non gouvernementaux à hiérarchiser les investissements afin de mieux soutenir ces populations.
Des organismes gouvernementaux et non gouvernementaux ont donc entrepris des interventions pour aider à atténuer certains de ces préjudices non intentionnels. La Dre Kendall et ses collègues entendent découvrir quelles sont les interventions les plus efficaces pour les populations marginalisées et lesquelles peuvent être étendues pour avoir une incidence plus importante.
Cette recherche est financée par l’University of Toronto COVID-19 Action Initiative.